Nanoue <3 Novice
Messages : 55 Date d'inscription : 02/03/2008
| Sujet: Mon nouveau roman : le Royaume de Carkac Jeu 17 Avr - 15:48 | |
| Alors voilà, on s'était lançé un défi avec mes amies : pendant les vacances, on devait écrit un roman d'au moins 5 chapitres. J'éai finis le chapitre 6 il n'y a pas longtemps. Je vous préviens : c'est nul ! Je vous mets le prologue et le chapitre 1. Prologue [Expliquations] : - Spoiler:
Il fut un temps où la Veuve Noire régnait sur le royaume de Carkac, c’était aussi un temps où la terreur régnait … Tout cela commença un 1er Avril, le roi David dirigeait encore le pouvoir en ce temps là, et sa femme Gaïna complotait dans son dos avec son amant pour prendre le pouvoir. Ce jour là, une petite fille naissait de l’union de la reine et du roi. Gaïna ne supporta pas le fait d’une enfant, comprenant que cela déjouerait ses plans. Elle décida de tuer d’abord son mari, puis ensuite sa fille. Mais ça ne se passa pas comme prévu … car après avoir apprit la mort du roi, la nourrice de la princesse Aïna comprit ce qui se passait et alla directement voir le sorcier Farel. Le sorcier eût l’idée de créer un nouveau monde pour pouvoir y exilé Aïna et sa nourrice. Il plaça le passa entre ce deuxième monde au fond d’une forêt. La nourrice partit donc avec Aïna dans ce nouveau monde qu’ils appelèrent Terre. La colère de Gaïna fût grande, mais elle comprit qu’en attendant le retour de sa fille à Carkac, elle avait le pouvoir du royaume. Elle se fit appeler la Veuve Noire et installa la terreur dans tout le royaume.
Les Phénixiers étaient des personnes qui se liaient à un Phénix, des oiseaux très rares et très puissants, jusqu’à la mort. Il y avait un Phénix d’or, un Phénix bleu, un Phénix rouge, un Phénix vert et un Phénix blanc. Ils ne choisissaient pas, c’était écrit dans leur destin. Ils étaient cinq par génération, aussi bien homme que femme. Le roi David en fût un. Ils se liguèrent contre la Veuve Noire, c’est pourquoi elle décida de faire arrêter toute personne qui était un Phénixiers, faisant croire aux habitant du royaume de Carkac que c’étaient eux qui avaient tuer leur bon roi David ... Les Phénixiers furent donc obligés de se cacher pour éviter de se faire tuer en attendant leur sauveur ou de se rallier à la Veuve Noire ... Chapitre 1 :- Spoiler:
Amélie se réveilla en sursaut. D’un coup de pied, elle enleva la couverture en laine qui la couvrait. Elle se leva du lit et chercha, les yeux encore fermés, ses chaussons qui s’étaient glissés sous son lit. Elle regarda le radio réveil de plus près : 8 H 00. Un samedi ? Pablo en demandait vraiment trop … Elle se recoucha et s’endormit quelques minutes plus tard. Un rêve lui apparut. Un oiseau d’or suivit un blanc, d’un bleu, d’un rouge et d’un vert volait dans un ciel azur. Ils survolaient de vastes collines verdoyantes. Tout s’effaça et une nouvelle image lui apparut. C’était une femme habillée en noir qui était assise sur un trône de glace. Amélie frissonna. Cette femme lui susurrait à l’oreille de venir vers elle. Elle ne l’avait jamais vu mais avait l’impression de la connaître. Tout à coup, elle s’aperçut qu’elle ne pouvait plus respirer. Elle s’agita, paniqua. Elle essaya de mieux visionner la scène avant de partir, mais tout s’effaça une nouvelle fois : elle était en train de se réveiller. Quand elle émergea totalement de se rêve irréel, elle constata que Pablo était assit sur elle. Le petit garçon de 4 ans sauta à terre et se retourna vers elle. Ses petites boucles brunes bougeaient aux moindres mouvements de sa petite tête d’ange. Ses petits yeux marron se plièrent doucement et un rire gêné sortit de sa fine bouche. Ses joues dodues se colorièrent en rouge. Il dit de sa voix douce, légère et innocente à Amélie : - Méli ! Tu es enfin réveillée ? J’ai dut te pincer le nez pour que tu te réveille … - Ne recommence plus jamais ça ! Tu as compris ? Jamais ! J’ai eus une de ses peurs ! - Tu es fâchée ? - Oui ! Les yeux du petit garçon se remplirent de larmes. Amélie lui sourit. Elle recoiffa vite ses cheveux noirs ébène souples, s’assit en tailleur sur son lit et tendit les bras vers l’enfant. Celui-ci comprit tout de suite le message et courra vers elle. Il se blottit contre elle. - Mais bien sûr que je ne suis pas fâchée, dit-elle Il se leva la tête vers elle et planta ses yeux dans les yeux verts d’Amélie. Il lui sourit, elle lui rendit son sourire. Elle comprit se qu’il voulait lui dire. Pablo était très prévisible … - Alors on y va ? - Oui Pablo, mais laisse moi le temps de m’habillé ! Il acquiesça mais ne bougea pas. Elle lui fit signe de sortir de la chambre. Il s’exécuta gentiment, ferma la porte derrière lui et attendit patiemment qu’elle arrive. Elle se lava, enfila un slim rouge, un t-shirt blanc « Rolling Stone », sa gourmette en or et ses nombreux bracelets au poignet droit. Elle s’attacha ses cheveux en une couette et mit en place sa frange. Elle se passa juste un peu de crayon noir sur ses yeux verts avant de rejoindre Pablo. Celui-ci lui fit encore une remarque sur le temps qu’elle mettait pour se préparé. Elle sourit discrètement et mit ses converses blanches. Elle prit son petit sac bandoulière en cuir et le passa sur son épaule. Elle ouvrit la porte d’entrée et sortit derrière Pablo qui s’était déjà glissé dehors. Les vacances d’été venaient juste de commencée. Pablo et Amélie se dirigèrent vers la forêt. Malgré les centaines d’interdiction de leur mère concernant cette forêt, l’adolescente et l’enfant y avait toujours été attirés. Aujourd’hui, ils avaient décidés d’y aller. Amélie sourit à Pablo avant de s’enfoncer dans les profondeurs de la forêt. Pablo la suivit en rigolant. A force de courir, de rire et de s’amuser, ils ne regardèrent plus le chemin et se perdirent rapidement. Pablo sentit ses yeux se remplirent de larmes, tandis qu’Amélie lui tendit sa main pour qu’ils continuent leur chemin. Au bout de la forêt se tenait un mur. Il était tellement haut que l’on avait l’impression qu’il ne s’arrêtait jamais. Pourtant, il ne faisait que trois ou quatre mètres de largeur. Pablo se cacha derrière Amélie en le voyant. La jeune fille posa sa main sur le mur. Aussitôt, ça main s’enfonça dans le mur. Pablo se recula, tandis qu’Amélie observait le phénomène. Elle regarda sa deuxième main et l’enfonça elle aussi dans le mur. Elle regarda Pablo qui lui fit un « non » de la tête. - Pablo, j’y vais … - Non, attend ! - Fais demi-tours et marche tout droit, tu trouveras forcément la sortie … - Non ! Je ne veux pas … pas sans toi ! Je viens avec toi ! Amélie ferma les yeux un instant, le temps de réfléchir. Les deux cas étaient dangereux pour le petit garçon, mais s’il restait avec elle, elle pourrait le protéger en cas de danger. Elle sortit une de ses mains du mur et la tendit à Pablo. Il l’attrapa et ils s’enfoncèrent tous les deux dans ce mur. Amélie et Pablo atterrirent dans la forêt. Pablo haussa les épaules et dit à Amélie : - Il n’a rien fait, ton mur ! On est toujours dans la forêt ! Amélie resta méfiante. Elle serra la main de Pablo et marcha droit devant elle. Ils sortirent enfin de la forêt et arrivèrent sur des collines verdoyantes. Amélie était sûre de les avoir déjà vu quelque part, mais elle ne savait dire où … Le soleil les éblouissaient, le ciel n’avait aucuns nuages. Les collines s’étendaient au-delà de l’horizon. Un oiseau d’or surgit du ciel et se posa devant eux. Pablo ne put s’empêcher de pousser un cri d’émerveillement. L’oiseau avait une envergure de 2 mètres, il avait des plumes lisses, des griffes parfaitement affinées, mais le plus beau, c’était cette couleur … or. L’animal poussa un cri heureux. - Bienvenue Amélie ! Bienvenue Pablo … Les deux arrivants restèrent muets. Ils ne pouvaient pas dire un mot. L’oiseau se montra compréhensif, comme s’il était habitué et continua de parler. Pablo se mit derrière Amélie, la peur se lisait sur son visage. Amélie, elle, écouta attentivement ses paroles : - Je commençais à désespérer ! Depuis le temps qu’on vous attend … Oh, Amélie ! Comme je suis heureux ! Je vais enfin partir à l’aventure ! Dans combien de temps as-tu 14 ans ? - De … Demain ! - Mais oui, comme moi ! Je suis bête des fois ! - Co … comment-vous appelez-vous ? demanda Pablo soudainement L’oiseau fixa Amélie attentivement. Il cligna plusieurs fois des yeux. Au bout d’un moment, il comprit qu’il fallait leur expliquer … - C’est à Amélie d’en décider, je suis son Phénix … Amélie était abasourdie. Elle ne comprenait rien. Le grand oiseau leur raconta alors toute l’histoire, ou du moins, tout ce qu’elle devait savoir sur ce royaume pour réussir sa tâche : sauver le royaume de Carkac en le délivrant de la Veuve Noire. Cependant, comme on lui avait demandé, il ne lui dit pas tout ce qu’il savait. Plonger dans le remord, il essaya de lui dire autre chose, mais Amélie le stoppa : c’était déjà beaucoup pour elle, elle pouvait attendre pour savoir ce que le Phénix voulait lui dire …
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